Sondage sur l’utilisation des poissons appâts
Par Ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs | 23 Novembre 2016
Le ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs tient actuellement un sondage en ligne auprès des pêcheurs sportifs du Québec afin de mieux connaître leurs habitudes en ce qui a trait à l’utilisation des poissons appâts et de vérifier leur degré de préoccupation en regard des espèces aquatiques envahissantes (EAE). Ainsi, tous les pêcheurs sportifs, qu’ils soient ou non utilisateurs de poissons appâts, sont invités à participer à ce sondage.
L’utilisation de petits poissons comme appâts lors de la pratique de la pêche sportive est actuellement autorisée dans le sud-ouest de la province ainsi que dans le fleuve Saint-Laurent. Selon la réglementation en vigueur dans les différentes zones de pêche, le poisson appât utilisé peut être vivant ou mort.
L’utilisation et le commerce de poissons appâts ne sont pas sans risque pour les milieux naturels, car ils constituent un vecteur de propagation d’EAE et d'organismes pathogènes tels les virus, les bactéries et les parasites. D’un autre côté, cette pratique, qui vise principalement à maximiser le succès de pêche en hiver, génère des retombées économiques dans certaines régions du Québec.
Les pêcheurs sportifs sont invités, jusqu’au 22 décembre 2016, à remplir le questionnaire accessible au : https://fr.surveymonkey.com/r/poissons_appats. Les réponses obtenues contribueront à optimiser la gestion de la pêche sportive au Québec tout en tenant compte des préoccupations des pêcheurs.
L’utilisation de petits poissons comme appâts lors de la pratique de la pêche sportive est actuellement autorisée dans le sud-ouest de la province ainsi que dans le fleuve Saint-Laurent. Selon la réglementation en vigueur dans les différentes zones de pêche, le poisson appât utilisé peut être vivant ou mort.
L’utilisation et le commerce de poissons appâts ne sont pas sans risque pour les milieux naturels, car ils constituent un vecteur de propagation d’EAE et d'organismes pathogènes tels les virus, les bactéries et les parasites. D’un autre côté, cette pratique, qui vise principalement à maximiser le succès de pêche en hiver, génère des retombées économiques dans certaines régions du Québec.
Les pêcheurs sportifs sont invités, jusqu’au 22 décembre 2016, à remplir le questionnaire accessible au : https://fr.surveymonkey.com/r/poissons_appats. Les réponses obtenues contribueront à optimiser la gestion de la pêche sportive au Québec tout en tenant compte des préoccupations des pêcheurs.