La relève à la pêche gravement compromise par le ministère : pêcheurs réagissez !
Par Fedecp | 22 Mars 2017
Si le ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs (MFFP) refuse de reculer devant sa décision, l'usage des poissons appâts morts pour la pêche sportive dans toutes les zones de pêche en été, et des poissons appâts vivants l'hiver, sera interdit à compter du 1er avril prochain. Cette nouvelle règlementation a comme objectif de prémunir le Québec contre une théorique dispersion de maladies et d'espèces aquatiques envahissantes (EAE) dans les cours d'eau du Québec. Jusqu'à maintenant, les arguments avancés par le MFFP pour expliquer cette éventualité ne sont pas suffisamment convaincants en regard de l'éventail de vecteurs de propagation autres que la pêche sportive et des pertes économiques qu'elle engendrerait. En outre, aucune information scientifique ne supporte formellement que ces nouvelles restrictions réglementaires ne prémuniraient davantage les écosystèmes contre la propagation des maladies et des EAE, et aucune analyse de risque évaluant les probabilités que de tels événements surviennent n'a été portée à notre attention.
Les poissons appâts sont des poissons indigènes, récoltés par des pêcheurs commerciaux québécois consciencieux, et utilisés selon des règlements stricts. Ce sont des appâts naturels, biologiques, qui étaient abondamment utilisés par les pêcheurs du Québec, tout comme par nos voisins ontariens, qui continueront à pêcher avec des poissons appâts dans le lac Ontario et dans la rivière des Outaouais, qui se déversent dans le fleuve Saint-Laurent. Présentement, devant la multitude de vecteurs de propagation incontrôlables, rien ne démontre que leur interdiction pour la pêche sportive ne prémunira les écosystèmes du Québec contre la propagation d'espèces aquatiques envahissantes ou de maladies. Le récent lien fait par le MFFP entre les poissons appâts et les carpes asiatiques relève d'ailleurs de la démagogie et sème la confusion parmi les citoyens.
Pour la FédéCP, restreindre drastiquement l'utilisation de poissons est une action vaine qui ne fera qu'activer la désaffectation des pêcheurs sportifs québécois et des non-résidents, alors que 55 000 permis de pêche de moins ont été vendus depuis 2015. Une chute historique. Sans compter les 22 000 pêcheurs qui ont préféré se procurer un permis de trois jours plutôt que leur permis annuel. Les pertes économiques que cette nouvelle restriction engendrera seront désastreuses pour de nombreux intervenants du secteur.
AFIN DE MAINTENIR LES PRESSIONS SUR LE MFFP, LA FÉDÉCP VOUS INVITE À SIGNER LES DEUX PÉTITIONS COMPLÉMENTAIRES QUI SE RETROUVENT SUR LE SITE INTERNET DE L’ASSEMBLÉE NATIONALE :
De même, nous vous invitons à faire parvenir à votre député une copie de la lettre type de demande de statu quo concernant la réglementation sur l'utilisation des poissons appâts pour la pêche sportive disponible au www.fedecp.com - section documentation/pêche .
Les poissons appâts sont des poissons indigènes, récoltés par des pêcheurs commerciaux québécois consciencieux, et utilisés selon des règlements stricts. Ce sont des appâts naturels, biologiques, qui étaient abondamment utilisés par les pêcheurs du Québec, tout comme par nos voisins ontariens, qui continueront à pêcher avec des poissons appâts dans le lac Ontario et dans la rivière des Outaouais, qui se déversent dans le fleuve Saint-Laurent. Présentement, devant la multitude de vecteurs de propagation incontrôlables, rien ne démontre que leur interdiction pour la pêche sportive ne prémunira les écosystèmes du Québec contre la propagation d'espèces aquatiques envahissantes ou de maladies. Le récent lien fait par le MFFP entre les poissons appâts et les carpes asiatiques relève d'ailleurs de la démagogie et sème la confusion parmi les citoyens.
Pour la FédéCP, restreindre drastiquement l'utilisation de poissons est une action vaine qui ne fera qu'activer la désaffectation des pêcheurs sportifs québécois et des non-résidents, alors que 55 000 permis de pêche de moins ont été vendus depuis 2015. Une chute historique. Sans compter les 22 000 pêcheurs qui ont préféré se procurer un permis de trois jours plutôt que leur permis annuel. Les pertes économiques que cette nouvelle restriction engendrera seront désastreuses pour de nombreux intervenants du secteur.
AFIN DE MAINTENIR LES PRESSIONS SUR LE MFFP, LA FÉDÉCP VOUS INVITE À SIGNER LES DEUX PÉTITIONS COMPLÉMENTAIRES QUI SE RETROUVENT SUR LE SITE INTERNET DE L’ASSEMBLÉE NATIONALE :
MAINTIEN DE LA RÉGLEMENTATION RELATIVE À L'USAGE DES POISSONS APPÂTS POUR LA PÊCHE SPORTIVE EN ÉTÉ:
HTTPS://WWW.ASSNAT.QC.CA/FR/EXPRIMEZ-VOTRE-OPINION/PETITION/PETITION-6567/INDEX.HTML
MAINTIEN DE LA RÉGLEMENTATION EN VIGUEUR RELATIVEMENT À LA PÊCHE AUX POISSONS APPÂTS VIVANTS:
HTTPS://WWW.ASSNAT.QC.CA/FR/EXPRIMEZ-VOTRE-OPINION/PETITION/PETITION-6499/INDEX.HTML
De même, nous vous invitons à faire parvenir à votre député une copie de la lettre type de demande de statu quo concernant la réglementation sur l'utilisation des poissons appâts pour la pêche sportive disponible au www.fedecp.com - section documentation/pêche .